La fibromyalgie, une « maladie » que la médecine classique ne comprend pas.

Je suis triste à chaque fois que je rencontre quelqu’un qui est atteint de ce syndrome « qui ne présente pas de maladie organique sous-jacente bien définie ». Car c’est comme s’il n’y avait pas de solution. La souffrance fait partie du quotidien des gens qui en souffrent et cela m’exaspère !

Il y a accès à de la balnéothérapie par exemple ou d’autres techniques qui, certes, détendent et soulagent la douleur. Mais le problème de fond n’est toujours pas réglé. Ils n’en voient pas la fin, alors que la guérison est possible !

La « maladie » reste mystérieuse et encore bien présente pendant des années et même dizaines d’années pour certains qui n’ont pas été informés des solutions à la source. On invoque des origines génétiques, neurologiques, « des facteurs émotionnels-cognitifs »…De là à ce que des études soient financées pour établir des liens précis en décodage biologique, on en est loin et on peut avoir quelques hypothèses sur le pourquoi (pas). Mais ce qui est cocasse, et assez navrant pour celles et ceux qui en souffrent, c’est que le lien corps-esprit n’est donc pas écarté, au contraire : il peut y avoir beaucoup de patients encore à qui des médecins disent que c’est dans leur tête. De plus, il y a en réalité très peu de considération de ce que l’on appelle le « terrain » physiologique, pour traiter la cause des causes, l’étiologie véritable.

On ne voit pas réellement d’inflammation au niveau des points de douleurs. « La pathogenèse et la physiopathologie de la fibromyalgie impliquent des altérations de plusieurs voies ascendantes et descendantes du système nerveux central, ainsi que des voies périphériques, entraînant une sensibilité accrue à la douleur. » Voilà le diagnostic et c’est un peu : désolé, on ne peut pas grand chose pour vous ma brave dame (ou mon brave monsieur), débrouille-toi avec ça !

Quelque part, ces médecins, qui disent que c’est dans la tête, n’ont pas tout à fait tort. Et ils sont ignorants pourtant, pour la plupart, des travaux de sérieux autres médecins, experts et thérapeutes avisés de correspondances mises en évidence entre des sentiments et émotions et des maux du corps (ou ses mots à lui). Et donc oui, il est nécessaire, comme pour toute expression du corps, d’aller voir ce qui ne s’est pas exprimé autrement de façon alignée avec l’essence de son âme.

Mais il n’y a pas que le subtil, l’émotionnel. Il y a aussi le terrain physiologique qui se construit et déconstruit jour après jour. La « capacité biopsychologique à faire face au stress » est bien reconnue dans cette constellation de symptômes. Et le stress c’est autant celui déclenché par l’environnement, le travail, les pressions diverses relationnelles, par exemple, que celui que le corps reçoit à travers l’alimentation. Oui, encore elle ! Simplement des aliments cuits, notamment, représentent un stress pour l’organisme, ce qui entraîne une réaction immunitaire défensive. Cela peut être aussi des aliments pour lesquels des symptômes d’allergie n’apparaissent pas de façon visible, mais qui font néanmoins de gros dégâts : le gluten, les produits laitiers, le sucre.

Le gluten est assez connu maintenant mais je vois encore tellement d’erreurs ou de négligences …Son éviction est assez partagée désormais mais si le reste des déséquilibres n’est pas corrigé, le moindre écart se fait payer d’une manière ou d’une autre. Les produits laitiers sont aussi bien montrés du doigt depuis quelques années et cela peut être relativement aisé de s’en passer (du moins, certains). Mais le sucre, quelle addiction ! Et je dirais que, vu ses formes diverses et les tendances végétarienne, végétalienne, vegan, c’est la cause la plus problématique. Bien sûr, pour déterminer précisément ce qu’il faut prioriser comme axe de rééquilibrage, une batterie de questions et tests sont souvent nécessaires. Par exemple, parmi d’autres voies, la prolifération de levures ou parasites est à explorer et à traiter de façon spécifique.

Et c’est là où il est important de se faire accompagner car ce n’est pas forcément simple. On peut savoir beaucoup de choses aussi mais la mise en pratique est plus difficile. Sans compter que l’on avance généralement mieux sur le plan psycho-émotionnel avec une tierce personne, neutre, bienveillante et professionnelle qu’en se débrouillant seul.

Il existe aussi d’autres axes de guérison et techniques diverses désormais. Et c’est en les visitant et en les implémentant en parallèle qu’il y a une chance de se libérer de toute douleur ou lourdeur à vivre.

À celles et ceux qui sont atteints de cette maladie, j’ai envie de dire : ne vous satisfaites pas de soulagements momentanés ! Tant que vous n’avez pas trouvé la paix dans votre corps, continuez à chercher par vous-même et tester sérieusement chaque axe d’exploration. Ne lâchez pas car ce n’est pas une fatalité, il y a des solutions ! Si vous ne les avez pas trouvées jusqu’à présent, c’est peut-être aussi parce qu’il y a ce qu’on appelle un bénéfice secondaire inconscient à trouver (ou plusieurs). Et là, un thérapeute peut vous aider. L’EFT, ou Emotional Technique Freedom, par exemple, qui est une technique permettant de libérer des mécanismes inconscients, est très efficace et surprenante. Et de façon concomitante principalement, l’alimentation est à rectifier nécessairement.

Sources : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7660651/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33024295/

https://link.springer.com/article/10.1007/s11916-016-0556-x

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