La symbolique et l’émotionnel des aliments
Mon expérience m’a fait comprendre que suivre telle ou telle préconisation à la lettre ne garantit pas d’en obtenir les effets escomptés. Inversement, sans suivre tel ou tel dogme, on peut se sentir très bien !
J’ai compris qu’il se passait autre chose que ce qui pouvait être écrit ou dit, par rapport à tel ou tel aliment.
C’est comme s’il se passait quelque chose de plus subtil entre certains d’entre eux et soi-même. Des réflexions issues de nombreuses sources d’inspiration m’ont amenée à prendre conscience de l’au-delà du mental. Autrement dit, il y a des faits qui peuvent être expliqués ; d’autres le sont un peu moins ou pas avec le paradigme ou modèle de pensée habituel.
Tout est interdépendant à petite ou à grande échelle, directement ou indirectement et qu’on le comprenne ou pas. La physique quantique le montre.
Et les aliments font aussi partie du JEU (JE).
Nous sommes liés, géographiquement, temporellement, culturellement, émotionnellement, à la nourriture que nous ingérons. De la même manière, nos aliments vient subtilement s’imbriquer à notre état d’être. Comme nous aussi pourrions leur transmettre des messages, à travers le son et même la pensée simplement, les aliments pourraient bien avoir cette même capacité. Ils pourraient eux aussi, s’exprimer à travers nos corps, ils nous parlent, en fait ! Et, si on sait les écouter, avec la clairvoyance du cœur et l’esprit; ils peuvent être de véritables guides. Ils nous soutiennent physiquement, mais également psychiquement dans notre processus d’évolution.
Avoir envie d’un aliment, en avoir un dégoût ou y être allergique a un sens véritable, en réalité.
Le corps a son intelligence propre, mais le maître à bord peut souvent être « le mental » et c’est là où le bât blesse. Le seul maître qui devrait contrôler le corps est … le cœur ; et le cerveau ne devrait avoir qu’un rôle subalterne, au service. Car le cœur est l’organe dont des scientifiques ont montré combien les vibrations s’étendent ne serait-ce que dans l’espace-temps !
La pomme est très révélatrice de la problématique.
En effet, elle est le fruit de l’arbre de la connaissance qui représente la découverte du monde extérieur. Et accéder à celle-ci serait le but ultime. Mais cela ne peut passer que par le travail intérieur. En vérité, il doit y avoir acceptation totale et inconditionnelle de soi. C’est le véritable amour du grand Soi, qui engendre l’unification et la plénitude.
C’est ce que diffusent les textes anciens et d’autres plus récents, à visée spirituelle. Et ce « fruit défendu » est ainsi le symbole du détournement de notre potentiel individuel. Nous n’utiliserions pas nos capacités intégrales, infinies, pour nous relier à l’intelligence supérieure, au grand tout pourtant à notre portée. Cela conduit au besoin de prendre une pomme ou, autrement dit, se fier à la connaissance extérieure à soi !
Mais si on en as envie, de cette pomme, justement, c’est pour une raison qu’il est nécessaire d’intégrer.
Ainsi, imposer ou se faire imposer tel ou tel aliment serait tout sauf anodin. Car c’est aller à l’encontre d’une nature intuitive qui a une fonction précise. Cette nature intuitive nous guide, en vérité, pour conduire l’évolution ; elle délivre des messages que nous avons le libre arbitre de saisir ou pas. Il importe donc d’être conscient de cela car supprimer les produits laitiers ou encore le sucré pourrait être plus impactant qu’on ne l’imaginerait. C’est faire bouger la béquille de sécurité liée à la mère dans ce cas. Quant à un régime sans sel, ce n’est pas banal non plus. Il est capable de préserver un certain équilibre entre certains éléments ; il est aussi utilisé pour purifier des lieux d’entités invisibles, dans nos maisons mais aussi dans nos temples que sont nos corps...
Or la santé, c’est être en accord avec soi-même et de façon profonde. Ce qui signifie qu’il est nécessaire de conscientiser ce qui se joue derrière ses envies, dégoûts, rejets, allergies. Simple, mais pas forcément facile !