Une problématique essentielle !
L’eau est rattachée au plan émotionnel, selon les sciences traditionnelles (ayurvéda, médecine chinoise, …) et comme le bon sens nous le rappelle à travers les pleurs, la sueur, etc. Elle est d’autant plus importante qu’elle est vectrice d’information. Donc c’est un élément élémen-TERRE et l’objet essentiel de certains « outils » au sein de ce que l’on appelle la naturopathie. Élément naturel, fondamental, j’ai choisi d’en étudier les caractéristiques et les moyens de l’utiliser en interne, en externe, globalement ou en localisé, chaude ou froide. Pour cela, je me suis inspirée des travaux de Benvéniste, Emoto, Montagnier, mais aussi ceux de Yann Olivaux, le Professeur Marc Henry et bien d’autres encore.
Ce sujet de l’eau pose plusieurs problématiques de fond.
L’homme est hétérotrophe, c’est-à-dire incapable d’assimiler les minéraux à l’état brut. Ceux-ci ne pourraient donc provenir que des fruits et des légumes et les minéraux des eaux en bouteille ou celles du robinet encrassent et affaiblissent ainsi l’organisme.
Par ailleurs, de nombreux polluants sont présents, que ce soit dans les eaux embouteillées ou celles du robinet dites « potables ». Seule une infime partie de ces polluants sont détectables et inclus dans des normes – arbitraires, s’il faut le rappeler – qui servent à rassurer une partie de la population.
Enfin, l’eau de notre corps, qui rentre et qui sort, a plusieurs fonctions. Elle permet la régénération naturelle du corps et elle transporte des informations qu’elle met en circulation.
Donc c’est un sujet fondamental à mon sens qu’il ne faut pas négliger. Il est d’autant plus important que l’ensemble de nos tissus est composé entre 60 et 80 % d’eau, voire plus …
La suite de l’exposé est à lire !
Voici quelques informations supplémentaires dont nous pouvons nous inspirer pour comprendre et se positionner sur le sujet.
L’eau est un des éléments essentiels sur lequel chacun a un pouvoir au quotidien et de façon significative. Nos experts nous disent bien que la molécule d’eau H2O est présente à 99% dans nos cellules !
Selon la bioélectronique de Louis-Claude Vincent, tout terrain biologique et l’eau notamment peut être représenté par 3 facteurs uniques :
1/ pH ou Potentiel Hydrogène d’un milieu (sa charge en proton (H+)). Cela donne le caractère plus ou moins acide ou alcalin. C’est ce qui va être à la base de telle ou telle fragilité de « terrain » à maladie.
2/ rH2 ou potentiel redox (la charge en électrons). Cela donne le caractère plus ou moins oxydant ou réducteur.
3/ R ou résistivité (unité de mesure : ohms). C’est le contraire de la conductibilité et cela renvoie à la concentration de la solution ou à la quantité de corps conducteurs.
Les éléments visibles tels que les minéraux, par exemple, ou les substances chimiques, impactent notre physiologie. Mais cela influe aussi sur nos corps mental et émotionnel (pour faire simple). La physique nous apprend en effet que notre corps matériel n’est que le résultat d’une quantité d’énergie concentrée dans un espace-temps ! Ainsi entre les énergies, ce qui est du domaine de l’impalpable et la matière, tout est lié…
Les éléments invisibles, comme les ondes électromagnétiques (dont notre eau est composée également), agissent également sur les plans physique, mental et émotionnel.
Les points sur lesquels porter son attention sont donc selon moi les suivants :
-Un équilibre au niveau de la charge entre protons et électrons doit exister. L’équilibre yin et yang pourrait aussi en dépendre…
-Un niveau de résistivité juste, minimum et suffisant, est nécessaire pour une conductibilité des éléments essentiels à transmettre pour un fonctionnement optimum.
-De plus, il faut prendre en compte l’information plus subtile, véhiculée par les ondes. Par définition, ces ondes ne sont pas matérialisées et les critères de la science limitent les explications. Cependant, l’expérience et les faits donnent à penser que ces éléments invisibles à l’œil nu sont plus que dignes d’intérêt.
-Enfin, le dernier point est le suivant. L’état vivant et la nature de ce vivant dans l’eau est un point important à prendre en compte. Certes, le corps a une capacité intrinsèque à rendre la boisson utile pour sa vie et son fonctionnement. Néanmoins, à mon sens, moins on lui donne à transformer du « mort » en éléments utiles, en mouvement, vivants, plus il a d’énergie pour des actions autres que métaboliques.
La question se pose, au final, de savoir concrètement comment choisir l’eau qui serait la meilleure à consommer ? Comment discerner ce qui peut permettre de renforcer notre nature vivante ?
Parmi les eaux embouteillées dans du plastique ou celles du robinet qui sont considérées comme consommables selon des normes arbitraires de nos grandes structures institutionnelles (osons le dire), de nombreuses solutions, qui peuvent paraître contradictoires, existent. Il n’est pas forcément évident de faire un choix !
L’objet de controverses…
-On trouve des recommandations en termes de bouteilles « les moins pires » ou les plus proches de certains paramètres biolélectroniques et biochimiques. Pourtant, le plastique n’est pas si fantastique que cela ; et d’autres inconvénients majeurs doivent être considérés.
-Pour utiliser correctement l’eau du robinet, on trouve des systèmes de filtration, d’osmoseurs, de (re)vitalisation. Ils éliminent une grosse partie des déchets, des micro-organismes, des minéraux et polluants chimiques, mais peuvent aussi en rajouter des pires ! Là aussi, il faut distinguer ce qui est vraiment efficace et sérieux. Les niveaux de filtration diffèrent en effet grandement d’un système à un autre…
-D’autres systèmes encore sont préconisés. celui produisant de l’eau hydrogénée notamment. Derrière celui-là, un procédé électrolytique a pour effet de rajouter à l’eau des molécules supplémentaires d’hydrogène dit « actif » ; cela génère ainsi une énergie électrique ORP pour « Potentiel d’Oxydo-Reduction », c’est-à-dire que des électrons supplémentaires sont rajoutés. Cela permet de lutter contre le vieillissement ; et le « terrain » acide est aussi corrigé. Cependant, l’erreur est de croire que ce système peut être utilisé pour son eau quotidienne de boisson !
-On peut aussi lire les mérites des distillateurs (et certains plus que d’autres), qui permettent d’obtenir une eau avec le moins de résidus secs, encore plus que les osmoseurs. Une faible minéralisation, pour les raisons expliquées plus haut, est ce qu’il y aurait de mieux selon la bioélectronique de Vincent. C’est vrai pour moi. Néanmoins, l’eau se chargerait alors de l’information plus subtile des ondes néfastes, entre autres.
Le choix peut paraître cornélien. Mais en comprenant les lois du vivant et ses caractéristiques fondamentales, il est finalement assez aisé de savoir ce qui constituerait le meilleur système.
Je me propose de vous en informer plus en détail, sur ce sujet spécifique, si vous le souhaitez !